L'épreuve de Thanatos

Ainsi donc je devais me battre contre un basilic, moi, Thanatos, Arachnanthrope - vampire pour l'occasion.

Je déchirai donc un morceau de ma cape et me banda solidement les yeux avant d'entrer dans la Grande Salle. Mes yeux étant protégés du regard mortel de la bête, je pénétrai alors dans la salle.

Il devait y faire très sombre car je ne percevait même pas la lumière au travers du tissu.

A mon entrée, une forte bourrasque de vent me frappa de plein fouet et mon bandeau improvisé faillit tomber. Je l'ensorcellai donc afin qu'il me colle à la peau.

Avançant à taton dans la salle, vidée de ses 4 tables ( je le suppose, sinon, je me serais cogné contre ... )je déambulait hésitant dans la célèbre salle au plafond de nuit.

Je sentis quelque chose de froid me frôler, sa queuereptilienne probablement.

Il me vint alors a l'esprit de me transformer en chauve-souris pour fuir plus loin, en attente d'une meilleure stratégie.

FLOP !

Me voilà soudain nanti d'ailes et je plane dans la salle. Chance, mon bandeau collait toujours à ma peau de chiroptère. Je constatai que je pouvais voir avec les ondes, et je me faisais un plan pmrécis de la pièce avec ses obstacles et le monstre écailleux qui sembleit me chercher à présent.

Ma transformation avait laissé derrière moi ma fameuse cape de nuit et l'épée de Griffondor que j'avais chippé du bureau du directeur barbu. Je la lui rendrai, ce n'est qu'un emprunt ...

Le bruit du métal attira le regard froid de la bête dans ma direction et me vit alors en train de volleter près du plafand qui devait probablement être étoilé.

Il rabattit ses immenses crocs luisants de venin vers moi et je me retrouvai dans sa gueule. Evitant sa langue fourchue, je me faufilai entre ses dents éffilées pour échapper au monstre.

contournant sa tête affreuse, j'arrivai près de ses yeux au regart mortel et , à l'aide me petites pattes griffues, tenta de lui crever ses yeux de mort. LA bête se débatait, la tâche était plus dure qu'il n'y paraîssait.

J'arrivai tout de même à ma fin, et pu enfin me débarrasser de mon bandeau improvisé, le Roi-serpent étant devenu aveugle.

J'attéri à l'autre vout de la salle, et reprit mon apparence " normale ". Il fallait que je trouve au plus vite un plan pour récupérer ma cape, t surtout l'épée...

Je ne pensais pas que le basilmic pouvait me voir, mais comme moi en chauve-souris qui voyait gràace aux ondes, lui, il percevait mon odeur avec sa langue. Battant l'air de sa langue fourchue, il m'avait facilement retrouvé, et abattit une fois de plus ses dents autour de moi. J'eu à peine le temps de me transormer en chauve-souris que sa gueule s'était déjà refermé sur moi.

M'y voilà une fois de plus, près de ses " yeux " ...

Si je parvenais à détruire sa langue, il serrait pratiquement mort ...

MAis une chauve souris de 15 cm contre une langue frôlant le mètre, c'est pas gagné d'avance. J'évitai donc adroitement son organe visuel en attendant là moindre bèche dans sa gueule. Là ! Maintenant ! il avit désseré les dents et je put sortir à nouveau de l'Enfer buccal du monstre.

Je n'allais pas entrer et sortir du basilic éternellement, il fallait agir au plus vite, mai ... que faire ?

La petit créature me narguait, elle volait vite, mais étant donné sa petit taille, il lui était impossible de me faire très mal !

La créature voleta dans ma gorge, elle me chatouilla le palais, je me prépara à éternuer, écartant les machoires ( elle en profita pour s'échapper ) ... J'éternua, mais ce n'était pas de la morve qui me sortit du nez, mais une giclée de venin ! Je me rendis alors compte que ce combat pouvait être plus facile que prévu !

A l'aide de ma langue, je sentit l'endroit où elle était et "cracha" dans sa direction, un goutte de venin lui brûla l'aile, et elle tomba de plusieurs mètre de haut en tourbillonnant, et repris son apparence normale, le bras salement amoché !

Je m'approcha de lui, profitant de ce moment d'inatention, je le vis esquisser un regard vers moi, mais il ne croisa pas le mien, qui lui, était mortel. Il envoya un bougie dans ma direction, je ne senti pas le bougeoir rebondir sur moi, par contre, j'avais sentit la flamme me lécher les écailles, elle m'avait légèrement brûlée.

Je regardais ce petit homme. Finalement, ça allait être plus dur que prévu !

" le serpents perçoit la moindre vibration ... Et si ... ? "

Il observa le décor qui s'offrait autour de lui. Il y' avait des squelettes, des citrouilles et autres halloweeniaiseries du même goût.
Parfait.

- WAddiwasi ! cria-t-il en pointant sa baguette sur divers objets de la pièce. Waddiwasi ! WADDIWASI !!

Toutes les décorations de la fête celtique furent envoyées dans tous les sens, rebondissant dans tous les ses, contre murs, sols et plafonds. Le Basilic ne savait plu ou donner de la langue. Des centaines de vibrations lui parvenaient toutes en même temps. La créature semblait perdues, trop d'informations lui parvenaient à la fois.

Pendant ce temps, Thanatos, protégé par le sortilège Protego, traversait la pièce en courant pour arriver près du Basilic, où se trouvaient la cape et l'épée de Griffondor.

Il vit sur le sol des morceaux de verre brisés dans une flaque épaisse et rougeâtre.

- 'Didjû , jura Thanatos en voyant son flacon de sang brisé sur le sol, 'manquait plus que ça.

Les objets cèsserent petit à petit de rebondir partout.

- Oh non ....

Les objets avaient finis leur rebondissements et le Basilic pu me repérer aisément...

Le reptile cracha du venin dans ma direction et frappa une de mes jambes.
Aye.
J'enfilai rapidement la cape de protection et le basilicapprocha sa tête vers moi en poussant un cri froid et aigu.

Brandissant l'épée du fondateur des Griffondor, je tentai de frapper la langue de la bestiole. Vainement. La lame se cogna contre sa gencive et n'eut pour effet de faire tomber une petite dent ( 15 cm, seulement ). Le serpent hurla en saignant abondemment. Sa tête s'agitait dans tous les sens et sa queue me balaya d'un coup pour m'envoyer valdinguer à l'autre bout de la pièce. Je ramassai la dent que j'avair ratrappée avant.
Du venin coulait de cette dent, je devais faire attention qu'elle ne rentre pas en contact avec ma blessure au brass ou encore moins à ma patte.

Je regardai attentivement la dent tandis que le basilic s'approchait rapidement deans ma direction. Il se jetta violemment contre le mur en tentant de me mordre. Je m'étais une fois de plus transformé en chauve-souris. Je rentrai une fois de plus dans sa gueul fétide, et, sa dent entre mes petites pattes, commença à lui taillader l'intérieur de sa cavité buccale infernale.
Son sang noir coulait de tous cotés tandis que je le déchiquetais de l'intérieur. Il devait remuer sa tête dans tous les sens car j'étais fortement secoué. Sa langue s'agitait et je pu la blesser un peu, mais sans effet. Détruire sa langue n"'était pas une bonne idée. C'est infaisable, il me faut un autre plan.
Alors sa langue m'agrippa et il déglutit.
Je me retrouvais plongé dans le sombre intérieur de l'immense serpent avec des flots de sang.

Je repris mon apparence et restai bloqué dans son oesophage. Je sentais son sang se déverser sur moi mais je tint bon. Le serpent fit une sorte de toussement et se pencha vers l'avant pour se débarraser de moi de son corps.

Il insista et vint pun moment ou je céda. Je tombais mais je me ratrapai àà temps à sa langue. Pendouillant au dessus du vide, à trois mètres du sol, je commençai à taillader s langue avec des coups vifs et tranchants. Il remueit dans tous les sens en hurlant.

Ses machoires se rapprochèrent brusquement.

Le temps semblait s'être ralentit. Je lâchai sa langue fourchue Et vit au dessus de moi ses deux machoires puissantes se rabattrent sur sa propre langue.

Je retombai lourdement sur le sol et sa langue à ma suite dans un claquement humide.

La bête était devenue folle. Elle remuait dans tous les sens en hurlant de douleur. Ca ne sera pas simple d'achever l'animal ...

Ma langue me brûlait, rien ne pouvait me soulager, des étoiles dansaient devant mes yeux ...

J'allais mourir, tué par mon propre venin ...

Mais un éclat rouge sang attira mon attention, là, sur le sol, une fiole était brisée, répandant son contenu par terre, je m'approcha, et tenta de laper cette mixture avec ma langue, avec un peu de chance, c'était du poison, et je mourrai sans autre douleur ...

Mais tout sembla grésiller au fond de ma gorge, la sang arrêta de couler, ma langue fut prise d'un nouvel élan de force, mais je ne savais pas que c'était temporaire.

Revigoré, je me jetai sur Thanatos, essayant de mettre fin le plus vite au combat.

Je m'élança vers lui, la geule grande ouvert et un objet sombre et pointu entra en contact avec ma rétine, il venait de m'enfoncer son épée dans l'oeil droit, je reculai, me cognant contre les murs, l'épée toujours coincée dans mon orbite ...

Furieux, je m'élança de nouveau vers lui, essayant d'ignorer la douleur, mais il se retranforma en chauve-souris et s'échappa, mon nez s'écrasant contre un mur derrière lui.

Puis de nouveau de sang recoula dans ma gorge, ma langue me rebrûla, la potion ne faisait plus d'effet, faignant la mort, je me laissa tomber sur le sol, inerte, Thanatos s'approcha ...

C'était maintenant ... ou jamais

Brandissant maladroitement la célèbre épée de Griffondor ( c'est plus lourd qu'il n'y paraît ), Thanatos avançait vers le Basilic agonisant. Il ne bougeait plus guère.

Je levai donc l'épée au dessus de sa tête quand soudain sa queue, qui avait sournoisement pris place dans mon dos, me poussa dans sa gueule béante et fétide. Je regagnai une fois de plus le petit intérieur de la bête.
L'épée toujours en main, je l'enfonça violemment dans son palais, à la verticale, dans un flot chaud de sang noir.

Je n'étais pas encore mort, mais je ne pouvais pas non plus prendre le risque ... J'abandonna le combat.

Peu à peu, je repris mon apparence normale, mes bras réapparurent, et ma taille devint plus petite.

Je regarda Thanatos dans les yeux, et abaissant ma baguette, je lui dit :

-Je me rend, tu as gagné !

Je me retourna, et sorti de la salle, honteux, et sans dire un mot.

Je restais là, les bras ballant en attendant quelque chose ...
Etait-ce une ruse, ou l'ennemi abandonnait-il réellement ?

Thanatos était perplexe. Il ne savait pas trop s'il avait gagné .

PS : tu as réellement gagné ^^

Maintenant, regarde bien ta boître aux lettre, ta récompense ne devrait pas tarder à arriver ...